Hellsuckers
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Hellsuckers
CELTILL
http://www.hellsuckers.com/
http://www.myspace.com/hellsuckers1
Depuis 1998, l’Alsace est agitée. C’est là que sont apparus, non pas les cigognes bossues, mais les premiers cris de liesse provenant d’un vieux garage.
Ce n’était pas des adultes ivres (de bière et de joie) se repassant la finale de la Coupe du Monde en vidéo pour la quarantième fois comme l’a supposé le voisin délateur qui a averti la police de proximité, mais le club des Cinq formé sous l’appellation Hellsuckers qui venait enfin de choisir chacun son patronyme de scène. Et il en a fallu du houblon et des prises de tête pour arriver à accoucher des Johnny Nunchak, Rich Roads, Randy Zephir, Dean Blondin, Jim Bullit ! Fallait-il en déduire qu’un des membres aimait Bruce Lee, l’autre le Jazz, le troisième la planche à voile, le quatrième Clint Eastwood et le dernier Jacqueline Bisset voire Steve McQueen ? Mais quel rapport ave la choucroute ?! Aucun.
Les Hellsuckers ne fument pas de saucisses de Morteau et ne sucent pas que des glaçons. Ces garçons n’ont pas besoin d’extra-vitamines pour jouer la musique qu’ils aiment : le Rock’N'Roll.
Bercés par les sons des Turbonegro, des Supersuckers, d’AC/DC et de Motörhead, leur route de l’enfer était toute tracée. Ils ont d’abord écumé l’Alsace, puis la Lorraine et ont ouvert pour Nashville Pussy, Gluecifer, Hellacopters ou les Ramones, lors de petits bals où les canettes volaient aussi haut que les cigognes et le public tanguait comme un rafiot pris dans une énorme tempête. Les Hellsuckers sont de vrais ambassadeurs et ont prêché la bonne parole en Allemagne, Suisse, Italie, Espagne, Croatie et Slovénie. Très urbains, ils accueillent les Hellacopters avec leur chanson « Swedish Rock must Die ». Les Suédois, mauvais princes, prennent la chose à la lettre. Le Nordique est froid et n’a pas d’humour. Ce petit intermède n’empêche pas nos Hellsuckers de sortir leur premier album, Rock’n’Roll Venom. Les tournées au Japon et sur la côte Est des States of America vont quand même mettre la puce à l’oreille de certains clébards. L’information circule alors très vite : il y aurait en France, un groupe de rock’n’roll capable de rivaliser avec les combos étrangers ? 2003 voit Tonite Destruction pointer son museau dans les bacs de France et de Navarre. Pris dans la tourmente des dépôts des distributeurs en 2004, les Hellsuckers ne baissent pas les bras et se remettent au boulot dès l’été 2004. Désormais reconnus pour envoyer du bois, nettoyer des cages à miel, maîtriser l’art du sado-maso rock, être de grands poètes, jouer une musique de malappris perverse, venimeuse, cinglée, poisseuse, orgasmique et sauvage, les Hellsuckers sont prêts à tout emporter sur leur passage avec leur dernier bébé : Total Satan. Douze compositions plombées à faire vibrer un cobra contre le mur dont la reprise du grand Phil Lynott, Cold Sweat, hommage vibrant au vingtième anniversaire de la mort du leader charismatique de Thin Lizzy.
l'album de tous les plaisirs total satan
http://www.hellsuckers.com/
http://www.myspace.com/hellsuckers1
Depuis 1998, l’Alsace est agitée. C’est là que sont apparus, non pas les cigognes bossues, mais les premiers cris de liesse provenant d’un vieux garage.
Ce n’était pas des adultes ivres (de bière et de joie) se repassant la finale de la Coupe du Monde en vidéo pour la quarantième fois comme l’a supposé le voisin délateur qui a averti la police de proximité, mais le club des Cinq formé sous l’appellation Hellsuckers qui venait enfin de choisir chacun son patronyme de scène. Et il en a fallu du houblon et des prises de tête pour arriver à accoucher des Johnny Nunchak, Rich Roads, Randy Zephir, Dean Blondin, Jim Bullit ! Fallait-il en déduire qu’un des membres aimait Bruce Lee, l’autre le Jazz, le troisième la planche à voile, le quatrième Clint Eastwood et le dernier Jacqueline Bisset voire Steve McQueen ? Mais quel rapport ave la choucroute ?! Aucun.
Les Hellsuckers ne fument pas de saucisses de Morteau et ne sucent pas que des glaçons. Ces garçons n’ont pas besoin d’extra-vitamines pour jouer la musique qu’ils aiment : le Rock’N'Roll.
Bercés par les sons des Turbonegro, des Supersuckers, d’AC/DC et de Motörhead, leur route de l’enfer était toute tracée. Ils ont d’abord écumé l’Alsace, puis la Lorraine et ont ouvert pour Nashville Pussy, Gluecifer, Hellacopters ou les Ramones, lors de petits bals où les canettes volaient aussi haut que les cigognes et le public tanguait comme un rafiot pris dans une énorme tempête. Les Hellsuckers sont de vrais ambassadeurs et ont prêché la bonne parole en Allemagne, Suisse, Italie, Espagne, Croatie et Slovénie. Très urbains, ils accueillent les Hellacopters avec leur chanson « Swedish Rock must Die ». Les Suédois, mauvais princes, prennent la chose à la lettre. Le Nordique est froid et n’a pas d’humour. Ce petit intermède n’empêche pas nos Hellsuckers de sortir leur premier album, Rock’n’Roll Venom. Les tournées au Japon et sur la côte Est des States of America vont quand même mettre la puce à l’oreille de certains clébards. L’information circule alors très vite : il y aurait en France, un groupe de rock’n’roll capable de rivaliser avec les combos étrangers ? 2003 voit Tonite Destruction pointer son museau dans les bacs de France et de Navarre. Pris dans la tourmente des dépôts des distributeurs en 2004, les Hellsuckers ne baissent pas les bras et se remettent au boulot dès l’été 2004. Désormais reconnus pour envoyer du bois, nettoyer des cages à miel, maîtriser l’art du sado-maso rock, être de grands poètes, jouer une musique de malappris perverse, venimeuse, cinglée, poisseuse, orgasmique et sauvage, les Hellsuckers sont prêts à tout emporter sur leur passage avec leur dernier bébé : Total Satan. Douze compositions plombées à faire vibrer un cobra contre le mur dont la reprise du grand Phil Lynott, Cold Sweat, hommage vibrant au vingtième anniversaire de la mort du leader charismatique de Thin Lizzy.
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