Cinéma
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Re: Cinéma
j'aime bien ce que fait Antoine de Maximy, la 1ere fois que je l'ai vu je croyais que c'etait fred chichin
celtill- le prez
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Re: Cinéma
tattooedgirl a écrit:
Date de sortie en salle : 26 janvier 2007
Distributeur : TVA Films
Origine : France
Genre : Comédie
Durée : 1h28
Synopsis
Un sans abri trouve un uniforme de police et le met pour manger dans les cantines de police, mais là ne s'arrêtera pas son aventure.
je me le suis maté hier soir, franchement pas mal, je suis fan de l'humour de Dupontel, film décalé comme y sait faire
Re: Cinéma
celtill a écrit:j'ai deplacé le topic dans la bonne partie
tattooedgirl a écrit:ah oui pardon Chef !
euh...... a écrit:il est vraiment bien comme film bien a l ouest
du dupontel lol
Coco a écrit:j'adore !!
Dupontel à toujours des scénarios bien à sa façon... j'aime !
Comme Bernie !
celtill a écrit:j'aime pas Dupontel
Edit: 'en profite je fait un peu de ménage dans la section ciné!!!!!
Re: Cinéma
patch a écrit:
Même s'il lutte pour ne pas faire de sa dernière mission une affaire personnelle, James Bond est décidé à traquer ceux qui ont forcé Vesper à le trahir. En interrogeant Mr White, 007 et M apprennent que l'organisation à laquelle il appartient est bien plus complexe et dangereuse que tout ce qu'ils avaient imaginé...
Bond croise alors la route de la belle et pugnace Camille, qui cherche à se venger elle aussi. Elle le conduit sur la piste de Dominic Greene, un homme d'affaires impitoyable et un des piliers de la mystérieuse organisation. Au cours d'une mission qui l'entraîne en Autriche, en Italie et en Amérique du Sud, Bond découvre que Greene manoeuvre pour prendre le contrôle de l'une des ressources naturelles les plus importantes au monde en utilisant la puissance de l'organisation et en manipulant la CIA et le gouvernement britannique...
Pris dans un labyrinthe de traîtrises et de meurtres, alors qu'il s'approche du vrai responsable de la trahison de Vesper, 007 doit absolument garder de l'avance sur la CIA, les terroristes
et même sur M, afin de déjouer le sinistre plan de Greene et stopper l'organisation...
j'y suis allé hier soir... j'ai jamais été tres James Bond (voire carrément pas.) mais Casino Royale m'avais bluffé : un héros brutal, à des kilometres du 007 en idéal gentleman; des scènes d'actions assez bluffantes; de nombreux rebondissements... bref un film classieux. du coup, j'étais tres tenté par Quantum of Solace, suite direct de Casino Royale.
tout d'abord on s'est tapé 45 minutes de bandes annonces (oui oui, 45 minutes), de quoi te gonfler quand tu vas voir un film de 1h30 à peine. mais le film commence enfin, avec une super scène, belle poursuite en bagnoles, totalement impossible bien entendu :) mais bien kiffante ! le film est pas mal, bond est cool, l'intrigue aussi...
par contre, la fin est ultra baclée : "allez hop, je bute le méchant et j'me casse vous pouvez balancer le générique". ce qui gache quand même énormément le film.
autre truc, le lien entre l'organisation du méchant amalric (qui est tres bon !) et Vesper est plus que flou, j'ai toujours pas compris. j'suis ptet con comme une huitre arcachonaise mais bon, quand même, hein.
pour finir, ya une histoire dans l'histoire qui est des plus bidons. une nenette veut venger sa famille d'un méchant dictateur. c'est certes tres brave de sa part mais ça fait tres cul-cul...
donc avis mitigé !
Môa a écrit:N'ayant pas aimé Casino Royal, je verrai celui-là quand un pote me filera le DVD !
Re: Cinéma
Coco a écrit:
" Il y a les héros, les super-héros et il y a... Hancock. Ses superpouvoirs lui ont souvent permis de sauver d'innombrables vies, mais les dégâts monstrueux qu'il fait au passage ont fini par le rendre impopulaire. Les habitants de Los Angeles n'en peuvent plus et se demandent ce qu'ils ont bien pu faire pour mériter un "héros" pareil. Hancock est une tête de mule irascible qui n'est pas du genre à se soucier de ce que pensent les gens... du moins jusqu'à ce qu'il sauve la vie de Ray Embrey, un spécialiste des relations publiques.
Le super-héros le plus détesté au monde commence alors à réaliser qu'il n'est pas aussi insensible qu'il voudrait le faire croire... "
bien sympa comme film!
Re: Cinéma
Excellente surprise qu'Hancock !!
Je m'attendais à un truc de major pour public décérébré (américain, quoi ... Oui, j'aime les clichés ! ), et je suis tombé sur un film très drôle au départ, et au scénario bien ficelé.
Même si vous n'aimez pas les super-héros, ça n'est pas bien grave, car ça n'est pas le sujet du film.
Je m'attendais à un truc de major pour public décérébré (américain, quoi ... Oui, j'aime les clichés ! ), et je suis tombé sur un film très drôle au départ, et au scénario bien ficelé.
Même si vous n'aimez pas les super-héros, ça n'est pas bien grave, car ça n'est pas le sujet du film.
Môa- Bayonetto
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Re: Cinéma
Je l'avais trouvé sympa aussi,divertissant,humour legèrement décalé,mais bon vers la fin,on reviens bien a la grosse prod' US,c'est le seul defaut du film j'trouve!!!
Re: Cinéma
pareil que Dia'
Enfin moi le film m'a saoulé à partir du moment où on découvre sa femme, pourtant j'étais à fond dedans avant ce passage...
Sinon j'ai vu la 1ère parti de Mesrine qui est pour moi un putain de film.
Il faut que je vois la 2ème!!
Enfin moi le film m'a saoulé à partir du moment où on découvre sa femme, pourtant j'étais à fond dedans avant ce passage...
Sinon j'ai vu la 1ère parti de Mesrine qui est pour moi un putain de film.
Il faut que je vois la 2ème!!
Re: Cinéma
vous pensez qu'on pourrait faire un topic "n'allez pas voir cette merde !!".
serait-ce pertinent ?
Parce que je viens de m'en faire 2 ou 3 d'affilée, autant faire partager les mauvaises impressions aussi
serait-ce pertinent ?
Parce que je viens de m'en faire 2 ou 3 d'affilée, autant faire partager les mauvaises impressions aussi
captain.bobo- Yeti lover
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Re: Cinéma
j'ai deja vu ce film, je l'ai trouvé bof au niveau BO ils auraient pu faire mieux.
un gentil petit film qui montre bien la monté du racisme dans le mouvement skin
fuck bonehead
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celtill- le prez
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Re: Cinéma
je voulais regarder le 1er mesrine que j'ai dl et je suis tombée sur :
je l'ai trouvé pas mal du tout même si j'ai été déçue que ce ne soit pas le film que je croyais
"XXXX", un dealer de cocaïne respecté au sein de l'élite de la mafia anglaise, désire prendre sa retraite. Mais Jimmy Price, un grand ponte du milieu, lui confie une mission difficile : retrouver la fille aînée de son vieil ami Eddie Temple, un puissant criminel...
je l'ai trouvé pas mal du tout même si j'ai été déçue que ce ne soit pas le film que je croyais
Re: Cinéma
diatribe a écrit:Bon alors pour ce soir,c'était:
Du grand Antoine de Maximy,excellent,si vous ne connaissez pas sa série "'j'irais dormir chez vous" ,jetez vous dessus c'est du bonheur!!!
jveux aller le voir !!!!!! j'adore son émission!
Re: Cinéma
Le Souper - 1992 - Edouard Molinaro
Avec Claude Brasseur et Claude Rich
France, 6 juillet 1815. Alors que le peuple se pose de sombres questions sur son avenir après la défaite de Waterloo, deux hommes soupent à huis-clos, Talleyrand et Fouché. Ils vont se livrer à un duel verbal dont l'enjeu est l'avenir de leur pays.
Film exceptionnel avec deux grands acteurs, que je revois régulièrement, dont ce soir ...
Il faut aimer les huis-clos, mais servi par de tels acteurs, et de tels dialogues, ça passe tout seul !!
Quelques citations, parmi une myriade à retenir :
- Fouché : Vous aimiez vos parents, Talleyrand ?...
- Talleyrand : ... ... ... Non ... Je ne sais pas pourquoi : nous ne nous connaissions pas ...
- Fouché : Heureux enfant ...
- Talleyrand : Savez-vous ce qu'est un mécontent, Fouché ? C'est un pauvre qui réfléchit ...
- Fouché : Mais une bonne police est là pour l'empêcher de réfléchir !
Avec Claude Brasseur et Claude Rich
France, 6 juillet 1815. Alors que le peuple se pose de sombres questions sur son avenir après la défaite de Waterloo, deux hommes soupent à huis-clos, Talleyrand et Fouché. Ils vont se livrer à un duel verbal dont l'enjeu est l'avenir de leur pays.
Film exceptionnel avec deux grands acteurs, que je revois régulièrement, dont ce soir ...
Il faut aimer les huis-clos, mais servi par de tels acteurs, et de tels dialogues, ça passe tout seul !!
Quelques citations, parmi une myriade à retenir :
- Fouché : Vous aimiez vos parents, Talleyrand ?...
- Talleyrand : ... ... ... Non ... Je ne sais pas pourquoi : nous ne nous connaissions pas ...
- Fouché : Heureux enfant ...
- Talleyrand : Savez-vous ce qu'est un mécontent, Fouché ? C'est un pauvre qui réfléchit ...
- Fouché : Mais une bonne police est là pour l'empêcher de réfléchir !
Môa- Bayonetto
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Re: Cinéma
maintenant, sur FR3 :
mon film culte :
Date de sortie : 02 Septembre 1960
Réalisé par Gilles Grangier
Avec Pierre Fresnay, Jean Gabin, Noël-Noël
Film français. Genre : Comédie
Durée : 1h 30min. Année de production : 1960
Retraité de la SNCF, Baptiste Talon revient en Vendée dans son village natal de Thioune pour y retrouver deux vieux amis : Jean-Marie Pejat et Blaise Poulossière. Pourquoi tous trois n'entreraient-ils pas à l'hospice de Gouyette ? Les voilà partis, non sans disputes, mais l'établissement leur semble si rébarbatif qu'ils le fuient à la suite d'une panique déclenchée par leurs soins. Les villageois les reçoivent sans enthousiasme car ces incorrigibles ganaches sont toujours à l'affût d'une bonne plaisanterie. À la suite de la plainte du directeur de l'hospice, le maire les sermonne mais pendant combien de temps seront-ils sages ?
extraits :
« Quand un homme a un bec de canard, des ailes de canard et des pattes de canards : c'est un canard. C'est vrai aussi pour les p'tits merdeux ! » (Baptiste Tallon au conducteur de l'autocar)
« ça va ti pas bientôt finir ? bande de vandales ! c'est pas un bistrot ici. v'là plus d'une heure que je vous entends gueuler comme des sarrazins ! » (Robert Dalban, dans le rôle du fossoyeur !)
« Si vous y allez aussi vite que je vous emmerde, pour une fois vous serez en avance sur l'horaire ! » (Baptiste Tallon au conducteur de l'autocar)
Le tournage s'est déroulé en Vendée, à Apremont et aux Sables-d'Olonne
mon film culte :
Date de sortie : 02 Septembre 1960
Réalisé par Gilles Grangier
Avec Pierre Fresnay, Jean Gabin, Noël-Noël
Film français. Genre : Comédie
Durée : 1h 30min. Année de production : 1960
Retraité de la SNCF, Baptiste Talon revient en Vendée dans son village natal de Thioune pour y retrouver deux vieux amis : Jean-Marie Pejat et Blaise Poulossière. Pourquoi tous trois n'entreraient-ils pas à l'hospice de Gouyette ? Les voilà partis, non sans disputes, mais l'établissement leur semble si rébarbatif qu'ils le fuient à la suite d'une panique déclenchée par leurs soins. Les villageois les reçoivent sans enthousiasme car ces incorrigibles ganaches sont toujours à l'affût d'une bonne plaisanterie. À la suite de la plainte du directeur de l'hospice, le maire les sermonne mais pendant combien de temps seront-ils sages ?
extraits :
« Quand un homme a un bec de canard, des ailes de canard et des pattes de canards : c'est un canard. C'est vrai aussi pour les p'tits merdeux ! » (Baptiste Tallon au conducteur de l'autocar)
« ça va ti pas bientôt finir ? bande de vandales ! c'est pas un bistrot ici. v'là plus d'une heure que je vous entends gueuler comme des sarrazins ! » (Robert Dalban, dans le rôle du fossoyeur !)
« Si vous y allez aussi vite que je vous emmerde, pour une fois vous serez en avance sur l'horaire ! » (Baptiste Tallon au conducteur de l'autocar)
Le tournage s'est déroulé en Vendée, à Apremont et aux Sables-d'Olonne
Re: Cinéma
le trou de Jacques Becker
Le Trou est un film franco-italien réalisé par Jacques Becker et sorti en 1960.
Le secteur de la détention préventive dans la prison de la Santé en 1947. Accusé de tentative de meurtre sur la personne de sa femme, Claude Gaspard est enfermé dans la cellule n° 6 déjà occupée par Roland, Manu, Monseigneur et Jo.
Les quatre amis, qui ont décidé de s'évader, ne voient pas d'un bon œil l'arrivée d'un nouveau compagnon. Les circonstances les contraignent pourtant à dévoiler leur projet à Gaspard et à s'en faire un complice... Roland, le conducteur de l'opération, a tout prévu : il perce un trou dans le sol un après-midi en faisant un bruit d'enfer.
Personne dans la prison ne se préoccupe d'un bruit de marteau qui ébranle tout le bâtiment ! Toutes les nuits, Roland et ses amis préparent le parcours qui les conduira vers la liberté en perçant un tunnel au travers d'un couloir des égouts de Paris.
alors franchement un super film j ai adoré je conseille fortement au gens qui le connaissent pas de matter
Le Trou est un film franco-italien réalisé par Jacques Becker et sorti en 1960.
Le secteur de la détention préventive dans la prison de la Santé en 1947. Accusé de tentative de meurtre sur la personne de sa femme, Claude Gaspard est enfermé dans la cellule n° 6 déjà occupée par Roland, Manu, Monseigneur et Jo.
Les quatre amis, qui ont décidé de s'évader, ne voient pas d'un bon œil l'arrivée d'un nouveau compagnon. Les circonstances les contraignent pourtant à dévoiler leur projet à Gaspard et à s'en faire un complice... Roland, le conducteur de l'opération, a tout prévu : il perce un trou dans le sol un après-midi en faisant un bruit d'enfer.
Personne dans la prison ne se préoccupe d'un bruit de marteau qui ébranle tout le bâtiment ! Toutes les nuits, Roland et ses amis préparent le parcours qui les conduira vers la liberté en perçant un tunnel au travers d'un couloir des égouts de Paris.
alors franchement un super film j ai adoré je conseille fortement au gens qui le connaissent pas de matter
Re: Cinéma
Le 30 décembre chui allez voir ça:
Synopsis Allociné:
Un film de Gustav Kernvern et Benoit Delepine,soit une partie de l'équipe du Groland.
Faut aimer l'humour noir et absurde,voir très absurde.Le film se déroule un peu dans la lignée d'Aaltra,leur premier film,et c'est dommage,y'a peu de surprise au niveau du déroulement,par contre le jeu d'acteur de Yolande Moreau et de Bouli Lanners est excellent.
Y'a quelques bonnes répliques,mais voila je l'ai trouvé juste "bien", je m'attendais a mieux quand même.
La Bande Annonce:
Synopsis Allociné:
Quelque part en Picardie, le patron d'une entreprise de cintres vide son usine dans la nuit pour la délocaliser. Le lendemain, les ouvrières se réunissent et mettent le peu d'argent de leurs indemnités dans un projet commun : faire buter le patron par un professionnel.
Un film de Gustav Kernvern et Benoit Delepine,soit une partie de l'équipe du Groland.
Faut aimer l'humour noir et absurde,voir très absurde.Le film se déroule un peu dans la lignée d'Aaltra,leur premier film,et c'est dommage,y'a peu de surprise au niveau du déroulement,par contre le jeu d'acteur de Yolande Moreau et de Bouli Lanners est excellent.
Y'a quelques bonnes répliques,mais voila je l'ai trouvé juste "bien", je m'attendais a mieux quand même.
La Bande Annonce:
Re: Cinéma
le scenar a l'air sympa. Yolande Moreau elle me fait délirer.
je l'avais vu dans "la mer monte" film calme mais délirant, elle est touchante de vérité.
je l'avais vu dans "la mer monte" film calme mais délirant, elle est touchante de vérité.
Re: Cinéma
allez voir ce film il est excellent
Hot Fuzz de Edgar Wright
À Londres, Nicholas Angel est un flic tellement bon que ses supérieurs sont obligés de le muter à la campagne parce qu'il fait de l'ombre à trop de monde. Et voilà Superpoulet cantonné à Sandford, où il ne se passe jamais rien. Avec son nouvel équipier, le jeune Danny Butterman, Angel va devoir s'habituer à un autre genre de missions : surveiller les fêtes de voisinage et retrouver les volatiles égarés. Pourtant, une série d'accidents suspects va éveiller ses soupçons. Tout n'est peut-être pas si tranquille que ça à Sandford... Pour Angel et son nouveau partenaire, il est temps de reprendre les armes et de tout exploser jusqu'à ce qu'il n'y ait plus que la vérité qui tienne debout...
la bande annonce
http://video.google.com/videoplay?docid=-1277128244071416844
Hot Fuzz de Edgar Wright
À Londres, Nicholas Angel est un flic tellement bon que ses supérieurs sont obligés de le muter à la campagne parce qu'il fait de l'ombre à trop de monde. Et voilà Superpoulet cantonné à Sandford, où il ne se passe jamais rien. Avec son nouvel équipier, le jeune Danny Butterman, Angel va devoir s'habituer à un autre genre de missions : surveiller les fêtes de voisinage et retrouver les volatiles égarés. Pourtant, une série d'accidents suspects va éveiller ses soupçons. Tout n'est peut-être pas si tranquille que ça à Sandford... Pour Angel et son nouveau partenaire, il est temps de reprendre les armes et de tout exploser jusqu'à ce qu'il n'y ait plus que la vérité qui tienne debout...
la bande annonce
http://video.google.com/videoplay?docid=-1277128244071416844
celtill- le prez
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Re: Cinéma
j'adore aussi celui là, il n'est pas edité en france seulement au canada
Black Robe
L'histoire racontée par ce film sur le choc des cultures se déroule en NOUVELLE-FRANCE vers 1634. À la requête de Samuel DE CHAMPLAIN, un jésuite, le Père Laforgue (Lothaire BLUTEAU), la « robe noire » du titre, entreprend un périple le menant de l'avant-poste colonial de la ville de Québec à la colonie d'Huronie, sur les côtes de la baie Georgienne. L'objectif de Laforgue est de convertir les HURONS au catholicisme, ce qui entraîne finalement l'effondrement de la nation huronne. Il est escorté par Daniel (Aden Young), un jeune charpentier à la recherche d'aventures qui parle leur langue, et un groupe de guides ALGONQUINS dirigé par Chomina (August SCHELLENBERG) et sa femme (Tantoo CARDINAL). Alors qu'ils s'enfoncent au cœur de la magnifique campagne canadienne, Laforgue doit défendre sa vie tout en tentant de conserver ses valeurs religieuses. Il est ébranlé mais garde la foi alors que son groupe est massacré par une bande d'IROQUOIS en maraude. Daniel s'éprend de la belle fille de Chomina (Sandrine Holt) et choisit de suivre sa propre route. Le voyage physique et spirituel de Laforgue lui apporte une meilleure compréhension des gens qu'il doit convertir, ainsi qu'un nouveau respect à leur égard.
Inspiré du roman de Brian MOORE, qui en écrit aussi le scénario, Black Robe (v.f. Robe noire) est un film exceptionnellement nuancé. Il s'agit d'un portrait compatissant de la culture et des croyances des Premières nations qui ne dénigre pas les tentatives de convertir les « sauvages » des Européens. Réalisé par Robert LANTOS, le film remporte les prix GÉNIE des meilleurs film, réalisation (l'Australien Bruce Beresford), adaptation, interprétation masculine dans un rôle de soutien (Schellenberg), images et direction artistique. Il reçoit également le GOLDEN REEL AWARD du film canadien ayant généré le plus grand revenu brut en 1991 et l'Australian Film Institute Award pour la cinématographie.
Black Robe
L'histoire racontée par ce film sur le choc des cultures se déroule en NOUVELLE-FRANCE vers 1634. À la requête de Samuel DE CHAMPLAIN, un jésuite, le Père Laforgue (Lothaire BLUTEAU), la « robe noire » du titre, entreprend un périple le menant de l'avant-poste colonial de la ville de Québec à la colonie d'Huronie, sur les côtes de la baie Georgienne. L'objectif de Laforgue est de convertir les HURONS au catholicisme, ce qui entraîne finalement l'effondrement de la nation huronne. Il est escorté par Daniel (Aden Young), un jeune charpentier à la recherche d'aventures qui parle leur langue, et un groupe de guides ALGONQUINS dirigé par Chomina (August SCHELLENBERG) et sa femme (Tantoo CARDINAL). Alors qu'ils s'enfoncent au cœur de la magnifique campagne canadienne, Laforgue doit défendre sa vie tout en tentant de conserver ses valeurs religieuses. Il est ébranlé mais garde la foi alors que son groupe est massacré par une bande d'IROQUOIS en maraude. Daniel s'éprend de la belle fille de Chomina (Sandrine Holt) et choisit de suivre sa propre route. Le voyage physique et spirituel de Laforgue lui apporte une meilleure compréhension des gens qu'il doit convertir, ainsi qu'un nouveau respect à leur égard.
Inspiré du roman de Brian MOORE, qui en écrit aussi le scénario, Black Robe (v.f. Robe noire) est un film exceptionnellement nuancé. Il s'agit d'un portrait compatissant de la culture et des croyances des Premières nations qui ne dénigre pas les tentatives de convertir les « sauvages » des Européens. Réalisé par Robert LANTOS, le film remporte les prix GÉNIE des meilleurs film, réalisation (l'Australien Bruce Beresford), adaptation, interprétation masculine dans un rôle de soutien (Schellenberg), images et direction artistique. Il reçoit également le GOLDEN REEL AWARD du film canadien ayant généré le plus grand revenu brut en 1991 et l'Australian Film Institute Award pour la cinématographie.
celtill- le prez
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Re: Cinéma
+1 pour Mesrine, super films !!
@Celtill: Hot Fuzz est vraiment trop fort, tu as vu Shaun Of The Dead ??
C'est avec les même, tout aussi excelent!
@Celtill: Hot Fuzz est vraiment trop fort, tu as vu Shaun Of The Dead ??
C'est avec les même, tout aussi excelent!
Re: Cinéma
Hott Fuzz e l'ai choppé hier mais j'ai pas encore regardé,Shaun of the Dead je me suis tapé un fou rire de 15 mins sur la scène de la palissade!!!!
Re: Cinéma
Angéla est journaliste pour une télévision locale. Accompagnée de son caméraman, elle relate le quotidien de ceux qui travaillent la nuit.
Ce soir, elle est dans une caserne de pompiers. La nuit est calme, aucune urgence. Jusqu'au coup de fil d'une vieille dame qui réclame du secours. Le tandem suit les pompiers et découvre en arrivant sur place des voisins très inquiets. D'horribles cris ont été entendus dans l'appartement de la vieille dame. Angéla perçoit la tension des habitants, son reportage devrait enfin sortir de la routine... Elle n'imagine pas à quel point !
Voilà un film qui sort véritablement bien du lot en matière de la nouvelle mode cinématographique "Caméra Embarquée". Le premier du genre était "Le Projet BlairWitch" il me semble.
Avec [REC] , les espagnols m'ont foutu sur le cul total!! Amateur de film d'épouvante, celui ci possède la flamme psychologique qui sait mettre le spectateur dans la panique et le stresse sans jamais un relâchement. Dès que le film commence vraiment, c'est speed jusqu'au bout! On notera toute fois 2 ou 3 petites maladresses mais vraiment excusables comparé à la puissance globale du film!
Pour ceux qui ont aimé "28 plus tard", vous allez trop kiffer!
---------------------------------------
Même pas un an après sa sortie, les américains ont fait un remake de ce chef d'oeuvre espagnol et l'ont appelé "En Quarantaine". Je l'ai vu hier soir, passez votre chemin et regardez l'original. Ces imbéciles ont fait exactement le même film plan par plan (si si je vous jure) avec des acteurs TRES mauvais, c'est totalement ridicule !! J'ai totalement halluciné devant une telle stupidité. L'actrice principale est insupportable dans ce rôle.
Dernière édition par Cage Prod le Mar 3 Fév - 22:11, édité 1 fois
Re: Cinéma
Volt
Excellent !!
L histoire d un chien qui joue dans une série d aventures, mais qui croit VRAIMENT que c est la réalité. Le jour où on lui dit que sa petite maîtresse Penny a été enlevée, il ne fait ni une, ni deux !! il part la sauver ! et il prend en otage Mitaine, une chatte de gouttière, un peu (beaucoup) blasée.
Seulement voilà ... ben en en vrai il a pas de supers pouvoirs ...
A noter Rhino le hamster qui est un grand malade mental !
Excellent !!
L histoire d un chien qui joue dans une série d aventures, mais qui croit VRAIMENT que c est la réalité. Le jour où on lui dit que sa petite maîtresse Penny a été enlevée, il ne fait ni une, ni deux !! il part la sauver ! et il prend en otage Mitaine, une chatte de gouttière, un peu (beaucoup) blasée.
Seulement voilà ... ben en en vrai il a pas de supers pouvoirs ...
A noter Rhino le hamster qui est un grand malade mental !
Hayyah- Aristochatte
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Re: Cinéma
L étrange histoire de Benjamin Button
Benjamin Button est né avec les carences d un petit vieux ... mais avec le temps il prend des forces. En fait il rajeunit au lieu de veillir.
A 8 ans, en paraissant 80, il fait la connaissance de Daisy. Et elle comprend vite que son regard n est pas celui d un vieillard.
Ok, l histoire est évidente : l amour impossible. Au delà de ça, c est un film délicat, prodigieusement bien mené, les acteurs sont excellents (Cate Blanchett est parfaite, comme d hab). Peut-être même qu il fait un pied de nez à ce désir médiatique et humain de rester jeune, de ralentir le temps.
Benjamin Button est né avec les carences d un petit vieux ... mais avec le temps il prend des forces. En fait il rajeunit au lieu de veillir.
A 8 ans, en paraissant 80, il fait la connaissance de Daisy. Et elle comprend vite que son regard n est pas celui d un vieillard.
Ok, l histoire est évidente : l amour impossible. Au delà de ça, c est un film délicat, prodigieusement bien mené, les acteurs sont excellents (Cate Blanchett est parfaite, comme d hab). Peut-être même qu il fait un pied de nez à ce désir médiatique et humain de rester jeune, de ralentir le temps.
Hayyah- Aristochatte
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Môa- Bayonetto
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Re: Cinéma
Hayyah a écrit:L étrange histoire de Benjamin Button
Benjamin Button est né avec les carences d un petit vieux ... mais avec le temps il prend des forces. En fait il rajeunit au lieu de veillir.
A 8 ans, en paraissant 80, il fait la connaissance de Daisy. Et elle comprend vite que son regard n est pas celui d un vieillard.
Ok, l histoire est évidente : l amour impossible. Au delà de ça, c est un film délicat, prodigieusement bien mené, les acteurs sont excellents (Cate Blanchett est parfaite, comme d hab). Peut-être même qu il fait un pied de nez à ce désir médiatique et humain de rester jeune, de ralentir le temps.
Je le pense aussi (enfin, j'ai pas encore vu le film !)
En revanche, j'ai toujours pas compris pourquoi elle avait joué dans le 4ième Indiana Jones... On peut pas dire qu'elle était parfaite...
gilda- Cacao junkie
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Re: Cinéma
Môa a écrit:Volt
(Je ne parle pas de la BO, mais bien de la manie déplorable de Disney de foutre des chansons de merde dans tous leurs films ... )
Y en a une petite à un moment. Mais c'est en fond sonore, c'est pas un personnage
Hayyah- Aristochatte
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Re: Cinéma
Cool !
Je le regarderai sur Canal, donc !
Je le regarderai sur Canal, donc !
Môa- Bayonetto
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Re: Cinéma
J'ai vu ça dimanche soir....
Dans l'Amérique des années 50, Frank et April Wheeler se considèrent comme des êtres à part, des gens spéciaux, différents des autres. Ils ont toujours voulu fonder leur existence sur des idéaux élevés. Lorsqu'ils emménagent dans leur nouvelle maison sur Revolutionary Road, ils proclament fièrement leur indépendance. Jamais ils ne se conformeront à l'inertie banlieusarde qui les entoure, jamais ils ne se feront piéger par les conventions sociales.
Pourtant, malgré leur charme et leur insolence, les Wheeler deviennent exactement ce qu'ils ne voulaient pas : un homme coincé dans un emploi sans intérêt ; une ménagère qui rêve de passion et d'une existence trépidante. Une famille américaine ordinaire ayant perdu ses rêves et ses illusions.
Décidée à changer de vie, April imagine un plan audacieux pour tout recommencer et quitter leur petite routine confortable…
Un film dont on ne ressort pas indemne, très profond et aussi très dérangeant; doit-on se résigner à vivre un rêve préfabriqué, un rêve d'apparence construit de toute pièce par une norme étouffante et restrictive? Telle est la question que se pose le personnage interprété par Kate Winslet et à laquelle celle-ci répond par la négative, tentant d'entrainer son mari dans une quête de liberté et de vérité vitale; une quête de soi, hors des sentiers battus et des comportements conditionnés; mais défier l'ordre établi et suivre son propre chemin n'est pas chose aisée...
Bref, un film dont on ressort la tête pleine des questions : si j'arrive à avoir "ce" travail, est-ce que je serais heureux pour autant ? Vais-je tomber dans le classique "métro-boulot-dodo" sans réaliser mes rêves ? Doit-on renoncer à nos rêves ?
Et puis Kate Winslet est impeccable ! Superbe actrice.
Dans l'Amérique des années 50, Frank et April Wheeler se considèrent comme des êtres à part, des gens spéciaux, différents des autres. Ils ont toujours voulu fonder leur existence sur des idéaux élevés. Lorsqu'ils emménagent dans leur nouvelle maison sur Revolutionary Road, ils proclament fièrement leur indépendance. Jamais ils ne se conformeront à l'inertie banlieusarde qui les entoure, jamais ils ne se feront piéger par les conventions sociales.
Pourtant, malgré leur charme et leur insolence, les Wheeler deviennent exactement ce qu'ils ne voulaient pas : un homme coincé dans un emploi sans intérêt ; une ménagère qui rêve de passion et d'une existence trépidante. Une famille américaine ordinaire ayant perdu ses rêves et ses illusions.
Décidée à changer de vie, April imagine un plan audacieux pour tout recommencer et quitter leur petite routine confortable…
Un film dont on ne ressort pas indemne, très profond et aussi très dérangeant; doit-on se résigner à vivre un rêve préfabriqué, un rêve d'apparence construit de toute pièce par une norme étouffante et restrictive? Telle est la question que se pose le personnage interprété par Kate Winslet et à laquelle celle-ci répond par la négative, tentant d'entrainer son mari dans une quête de liberté et de vérité vitale; une quête de soi, hors des sentiers battus et des comportements conditionnés; mais défier l'ordre établi et suivre son propre chemin n'est pas chose aisée...
Bref, un film dont on ressort la tête pleine des questions : si j'arrive à avoir "ce" travail, est-ce que je serais heureux pour autant ? Vais-je tomber dans le classique "métro-boulot-dodo" sans réaliser mes rêves ? Doit-on renoncer à nos rêves ?
Et puis Kate Winslet est impeccable ! Superbe actrice.
gilda- Cacao junkie
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