Re: Cinéma

[kikoulol]

Gran turino je l'ai vu cet aprem...

COmment dire, c'est mitigé, j'ai trouvé les dialogues affreusement plats mais les personnages en eux même étaient super et j'ai beaucoup aimé le dénouement...

Je dirais une bonne impression dans l'ensemble (ça tient aussi peut être du fait que j'étais bien accompagnée ^^) mais pas non plus à casser des briques, ceci dit je ne suis pas une référence en matière de ciné

[calvinball]

(ça tient aussi peut être du fait que j'étais bien accompagnée ^^) mais pas non plus à casser des briques,

Alors ça c'est pas sympas pour celui qui t'as accompagné!


Edith me dit aussi que ça aurait pu être CELLE qui t'as accompagné...

[calvinball]

Vu et apprécié les deux, ça m'a d'ailleurs réconcilié avec Danny Boyle (parce que 28 jours plus tard, sympa mais... Rolling Eyes ) et Tarkovski est vraiment génial, c.f. Solaris & co. (d'ailleurs, bizarrement, le remake de Soderbergh est pas mal aussi... Suspect ).

Dans le genre SF russe, il y a aussi Kin-Dza-Dza !!

Et tu sais si c'est choppable ce film ? (je m'y connais pas trop des masses en sf metaphysique, si t'as d'autre titres inconnus et imprononçable je suis preneur...)

[Azeleen]

le 28 semaines plus tard est beaucoup mieux que le 28 jours, enfin c'est mon avis

[captain.bobo]

Et tu sais si c'est choppable ce film ?

Ben, choppé sur la mule, y'a un bout de temps, certes, et puis faut galérer à chercher les sous-titres à part, mais sinon, ça roule...

le 28 semaines plus tard est beaucoup mieux que le 28 jours, enfin c'est mon avis

J'ai quand même eu un gros doute quand le film est sorti... bon, je l'ai pas vu, je ne critique pas...

[calvinball]

Ben, choppé sur la mule, y'a un bout de temps, certes, et puis faut galérer à chercher les sous-titres à part, mais sinon, ça roule... clown

Miss Pâté a écrit:le 28 semaines plus tard est beaucoup mieux que le 28 jours, enfin c'est mon avis

Je les trouve tout les deux très bon moi, le 28 semaines a aussi des défauts que n'avaient pas le premier, comme l'histoire très très bidon, mais par contre la scène d'intro reste un de mes moments les plus intenses au cinéma.

(et puis 28 jours a au moins le mérite d'avoir relancé la mode des zombies et d'avoir créé celle des zombies qui courent et pour ça merci Danny!)

[captain.bobo]

(et puis 28 jours a au moins le mérite d'avoir relancé la mode des zombies et d'avoir créé celle des zombies qui courent et pour ça merci Danny!)

Ben, en fait, 28 jours plus tard, il commence super bien, DV, zombies qui courent, etc... et puis, la 2ème partie, avec la fuite, le camp militaire, etc... bof...

[Môa]

J'adore les militaires déjantés de 28 jours, perso.
Mon seul regret, c'est la fin, trop hollywoodienne ...

28 semaines, je l'ai sur mon disque, mais je n'ai pas osé regarder, de peur d'être déçu ...


EDIT : Pour ceux qui aiment les zombies qui courrent, je conseille la série Dead Set (anglaise, elle aussi), et qui déchire tout !
Six épisodes de pur bonheur nécrophile !!

[kikoulol]

(ça tient aussi peut être du fait que j'étais bien accompagnée ^^) mais pas non plus à casser des briques,

Alors ça c'est pas sympas pour celui qui t'as accompagné!


Edith me dit aussi que ça aurait pu être CELLE qui t'as accompagné...

Oui c'était celle ^^

[captain.bobo]

Six épisodes de pur bonheur nécrophile !!

[Cage Prod]

Du porno-zombie !!

[Hayyah]

et si on lui sort un porno-zombie avec des canards du bain, il succombe

[Môa]

Et alors un canard-zombie du bain, je ne vous raconte pas ...

Je savais que ça vous ferait forcément réagir, mais "zombophile", ça me paraissait encore plus étrange ...

[calvinball]

hey ça a l'air bien cette série, m'en vais charger la mule...

Par contre pour 28 semaines Moa, je te le déconseille vivement en Divx ou sur un écran 19' ça va forcement te décevoir. C'est le genre de film qui fait son effet quand tu te le prends en plein dans la gueule parceque c'est pas le scénario qui va te faire plaisir...

enfin je crois.

[Môa]

Arf ... En effet, j'aime bien les scénarios bien foutus ...
Bon, je le tenterai pendant ma semaine hors-net, le nez sur l'écran, pour en prendre plein la tronche ... Et me payer une séance chez l'occuliste !

[Môa]

C'est du DVD, mais comme j'adore toujours autant, voici la fiche :


La Compagnie des loups (The Company of Wolves) est un film britannique de Neil Jordan sorti en 1984.

Ce film s’inspire de différents contes : Le Petit Chaperon rouge de Charles Perrault ou des frères Grimm principalement, ainsi que Barbe bleue, La Belle et la Bête, Le Chat botté, etc.

L’histoire du film est elle-même tirée du livre du même nom d'Angela Carter (scénariste du film).

Dans le livre, l’auteur (féministe) reprend une suite de 10 contes célèbres pour opérer une subversion et un renversement des valeurs patriarcales que ce genre de conte expose. Y dominent ici l’érotisme et la féminité, et la femme en général, qui n’est plus offensée mais supérieure ; comme dans le film, pour l’histoire du Chaperon, qui du loup ou du chaperon est le plus séducteur ? Ou pour l’histoire de la Belle et la Bête, ce n'est pas cette dernière qui change d’apparence, mais la Belle.

Donc renversement des valeurs ; c’est la découverte des vérités profondes de l’homme et de la femme qui les éveille à une vie authentique, à l’accomplissement de soi.





Le texte présenté ici est tiré de l'article français du Wikipedia, qui est à lire APRES avoir vu le film, pour son analyse que je trouve très sympa : LIEN VERS LE WIKI.

[diatribe]

J'me suis matté "Les fils de l'homme" hier!
Un bon ptit film,bien filmé,certains plans sont excellents,dont la poursuite en bagnole dans la forêt!!!

[calvinball]

+80000 évidement!

[Môa]

J'me suis matté "Les fils de l'homme" hier!
Un bon ptit film,bien filmé,certains plans sont excellents,dont la poursuite en bagnole dans la forêt!!!

J'ai eu plus de mal, mais je venais de relire le roman peu de temps auparavant : ceci explique peut-être cela ...

[gilda]

Hier soir j'ai enfin vu ce DVD

dont l'histoire est tirée du premier livre de Monica Ali que j'avais lu l'été dernier...

Résumé
Jeune femme née au Bangladesh, Nazneen est promise à Chanu, un homme de 20 ans son ainé qu'elle ne connaît pas et qui habite Londres. Arrivée dans la capitale anglaise, elle se retrouve dans le quartier populaire où loge toute la communauté indienne. Petit à petit, Nazneen goûtera à l'indépendance des femmes occidentales. De ses premiers pas seule en ville à ses émois avec Karim, elle confiera tout ou presque à Hasina, sa soeur qui vit tant bien que mal sa vie de Bangladaise indépendante

Bonne adaptation même si le livre est plus riche de détails sur l'acculturation de cette jeune femme
conduite à accepter sans broncher le mariage arrangé que son père lui impose.
Seule dans la tour de sa cité, la jeune femme ne ressent guère d’attirance pour ce mari de 20 ans son aîné, trop bavard et souvent un peu ridicule. Chanu accumule diplômes et certificats dans l’espoir, malheureusement absurde, que son savoir lui permettra de gravir les échelons de la société britannique. Le seul lien que Nazneen conserve avec le pays natal sont les lettres qu’elle échange avec sa sœur. Hasina, elle, a choisi l’action et s’est enfuie avec son amant pour échapper à un destin similaire, s’attirant l’opprobre publique et le rejet familial.
Au fil des années, Nazneen, devenue mère, s’enhardit, se fait des amies, prend un amant et s’habitue en fin de compte très bien à l’Angleterre, suivant en cela une trajectoire inverse à celle de son mari qui, ne se voyant pas reconnu à sa juste valeur, se réfugie dans l’espoir d’un retour au pays. Sa vision idéalisée du Bangladesh contraste avec la réalité de la vie d’Hasina qui paye au prix fort sa volonté d’indépendance dans une société qui bafoue de manière intolérable les droits de la femme.

Si Monica Ali dénonce les tares et faiblesses bangladaises, elle sait également montrer du doigt les injustices et le racisme anglais, étudiant avec minutie le phénomène complexe de l’acculturation. Sept Mers et Treize Rivières foisonne d’idées, mises en scène avec sensibilité et tendresse.

Voilà un film juste et touchant.

[gilda]

Dimanche matin, voyant ma rando annulée puisqu'il pleuvait (et nan, j'avais pas envie de marcher sous la pluie), je suis allée voir ce très bon film :

New Iberia, Louisiane. Le détective Dave Robicheaux est sur les traces d'un tueur en série qui s'attaque à de très jeunes femmes. De retour chez lui après une investigation sur la scène d'un nouveau crime infâme, Dave fait la rencontre d'Elrod Sykes. La grande star hollywoodienne est venue en Louisiane tourner un film, produit avec le soutien de la fine fleur du crime local, Baby Feet Balboni. Elrod raconte à Dave qu'il a vu, gisant dans un marais, le corps décomposé d'un homme noir enchaîné. Cette découverte fait rapidement resurgir des souvenirs du passé de Dave. Mais à mesure que Dave se rapproche du meurtrier, le meurtrier se rapproche de la famille de Dave...

Voilà longtemps que je n’avais pas vu un bon « polar » au cinéma…

Télérama en parle mieux que moi (et pour une fois, je suis assez d’accord…)

Un trou marécageux. (…) D'emblée, c'est une voix qui sort de la brume. Presque une voix d'outre-tombe, puisqu'elle évoque une tradition locale : des pierres lourdes posées sur les sépultures pour empêcher les âmes des défunts de s'envoler. Il y a du vécu et du tourment dans cette voix off, traînante et rocailleuse. Un roman en soi qui sort de la bouche de Tommy Lee Jones, centre de gravité du film. Carrure, visage buriné, l'acteur incarne idéalement Dave Robicheaux, shérif pas si endurci, personnage clé des histoires de James Lee Burke. Du boulot l'attend à New Iberia : élucider une série de meurtres sauvages commis dans la région par un détraqué qui s'en prend à de jeunes prostituées.

Robicheaux entame à peine son enquête qu'il est rattrapé par le souvenir enfoui d'un autre crime, raciste celui-là, commis cinquante ans auparavant. Cette affaire l'occupe tout autant que la première et a priori l'en éloigne. A dire vrai, Robicheaux écoute souvent plus qu'il n'enquête, donnant l'impression d'emprunter des chemins détournés, d'attendre un signe plus que des preuves. Lorsqu'il interroge une vieille Noire édentée, qui semble balayer là depuis la nuit des temps, ou un bluesman sur le perron de sa maison, c'est comme s'il consultait des oracles. (…) L'intrigue liée aux crimes sexuels paraît presque secondaire. Comme si le coupable comptait moins que la culpabilité généralisée.

En Louisiane, on est servi. Les paradoxes qui ont fait la mythologie de cet Etat du Sud perdurent. Tavernier a eu la bonne idée de transposer l'action du roman de nos jours. On entraperçoit donc une région à la fois envoûtante et dévastée - l'ouragan Katrina est passé par là. Gangrenée surtout par la mafia locale, dont on a un aperçu à travers Julius Balboni (John Goodman, adipeux et crapuleux à souhait). Ailleurs, des maisons sont ratatinées, mais lui se fait dorer la pilule dans sa piscine et donne une garden-party avec les huiles du coin. Demeure blanche à colonnades, barbecue et cocktails à volonté : la vie y est forcément plus douce que du côté de la gare routière. Mais il s'agit d'une douceur obscène.

Dans ce marasme, Robicheaux apparaît comme un type bien. Un Maigret américain, si l'on veut, compatissant, qui carbure à l'instinct, mais capable aussi d'accès de violence. D'où vient cette violence ? C'est l'enjeu du film : remonter à l'origine du mal. Le passé est donc omniprésent, celui du shérif et, plus largement, celui de la région, théâtre historique de la guerre de Sécession, laquelle fait justement l'objet d'un film tourné dans le coin, avec Elrod Sykes (Peter Sarsgaard), star hollywoodienne. Un noceur invétéré, imbibé du matin au soir, qui sympathise avec Robicheaux. Ces deux-là n'ont pas grand-chose en commun. Sinon une hantise, qui court en filigrane tout au long du film : l'alcool. Un motif finement traité, par allusions glissées. On pense un moment que c'est de l'histoire ancienne pour Robicheaux (…). Mais non, on est alcoolique à vie, même quand on ne boit plus. Simplement, le shérif a plus ou moins appris à apprivoiser ce démon. Elrod et lui partagent les mêmes visions, tous deux sont poursuivis par le même fantôme. Sur les raisons qui ont poussé le shérif à picoler, rien n'est dévoilé. Mais Tavernier fait bien ressentir le voyage immobile que procure l'alcool, ce passé ressassé, entre mémoire et oubli.

Attention, ne pas croire que le film est sordide. Même lorsque les fantômes des confédérés s'invitent parmi les vivants, les civilités sont conservées. L'intranquillité y est harmonieuse. Baigné de blues et de musique cajun, le polar ondule, relie avec naturel passé et présent, réalité et surnaturel. A défaut de paix, on y trouve l'accalmie. Un moment de cessez-le-feu dans une guerre intérieure.

[Môa]

A savoir qu'on a droit en Europe à la version director's cut, la sortie outre-atlantique, et outre confidentielle , a été orchestrée par la production, avec une version toute ... américaine ... du film !

[captain.bobo]

Bertrand Tavernier est le meilleur réalisateur français. Point barre.

J'ai pris une claque à chacun de ses films (bon, le premier qui me sort le film de commande pris en cours de prod' "La fille de D'artagnan, prend une gifle... ... même s'il a réussi à semi-sauver un désastre totale au départ...)

[diatribe]

Tiens chui allé voir ça dans la semaine!!!!!



Synopsis allociné:

Carl vient de se faire renvoyer du lycée, et sa mère a décidé qu'il irait réfléchir à son avenir auprès de son parrain, Quentin. Il se trouve que celui-ci est le patron de Radio Rock, une radio pirate qui émet depuis un bateau en mer du Nord peuplé d'un équipage éclectique de DJ's rock and roll. À leur tête se trouve le Comte, un Américain exubérant, véritable dieu des ondes en synergie totale avec la musique. A ses côtés, ses fidèles animateurs : Dave, ironique, intelligent et d'un humour acéré ; l'adorable Simon, qui cherche l'amour ; l'énigmatique Midnight Mark, séduisant et silencieux ; Wee Small Hours Bob, le DJ des petites heures du matin, accro à la musique folk et à la drogue, Thick Kevin, qui possède l'intelligence la plus microscopique du monde ; On-the-Hour John, le chroniqueur des actualités, et Angus "The Nut" Nutsford, qui est sans doute l'homme le plus agaçant d'Angleterre...
La vie en mer du Nord est riche en événements...

Bon bah ptit film sans pretention,et sans histoire marquante,mais c'est divertissant et ça s'laisse regarder,des morceaux terrible tout le long du film!!!!

[celtill]

j'ai vu ça dans le week end "zombie stripper"

j'ai trouvé ça marrant, peu etre par ce que je suis un homme aussi

Un film réunissant Robert 'Freddy' Englund et Jenna Jameson, la star du porno



Dans un futur proche, un virus chimique servant à la réanimation s'échappe d'un complexe gouvernemental secret basé au Nebraska et s'immisce dans un club de strip-tease. Les filles du club vont alors se transformer en zombies et inaugurer un véritable carnage dont les clients masculins seront les proies.

[sylvain medecine]

coool !
Hayyah, je peux parler de films avec Jenna Jameson que j'ai vu ??????

[Hayyah]

Oui

mais uniquement ici

[sylvain medecine]

oh non, encore un forum où tu administre !

[Hayyah]

que j'administre au fouet, encore.

[celtill]

qlq un à vu hell ride ??

[calvinball]

Non mais j'en ai eu de très très mauvais échos...

[celtill]

mince j'ai achetè le dvd ce midi, on verra bien

[serialdrinker]

tu me diras celtill si ca vaut le coup que je l'achete !

[captain.bobo]

tu me diras celtill si ca vaut le coup que je l'achete !

Va plutôt là :
http://www.fedbac.tv/film-15108.html

Pourquoi ne suivez vous pas les preceptes du Môa ??

[serialdrinker]

merci pour le lien,ca n'a pas l'air trop mal

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