Re: Et toi tu lis quoi en c'moment?????

[kikoulol]

Un nouvel album d' Enki Bilal va bientôt sortir, j'ai hâte de voir ce que ça donne!

http://www.decitre.fr/gi/69/9782203019669FS.gif

[calvinball]

Moi aussi! Il parait qu'il laissé tomber ses expériences trop froides de la trilogie du monstre (en gros de dessinée des tableaux plutôt que de la bande dessinée) et ça c'est une bonne nouvelle!

[sylvain medecine]

je reprend les enquetes de Hugh Corbett .

Quelque part au Moyen-orient, le vieil homme de la montagne souhaite assouvir sa vengeance sur Edward Ier d’Angleterre et Philippe IV de France. Dans le plus sordide de ses donjons, un homme attend lui aussi de pouvoir se venger de ceux qu’il juge responsable de la chute de St-Jean-d’Acre.

En Angleterre, des nonnes découvrent le cadavre atrocement mutilé et à demi brûlé d’un vendeur de reliques ; dans la forteresse des Templiers, leur intendant meurt carbonisé au sein du labyrinthe où il effectuait un pélerinage quotidien et dans une chambre d’auberge, un autre Templier est lui aussi retrouvé à l’état de cendres. Autour de ces hommes enflammés, rien d’autre ne se consume, seulement eux et eux seuls. De là à parler d’un "feu de l’enfer" et de sorcellerie, il n’y a qu’un pas, vite franchi et dont les Templiers vont être accusés.

D’autant plus que Jacques de Molay et 4 autres chefs de leur ordre sont à chaque fois dans les environs des feux. De plus, il y a ce mot mystérieux qui est la menace bien connue de la secte des Assassins que l’on a retrouvé sur les lieux des crimes et que Corbett a également reçu.

Lorsque Edward Ier, à peine revenu d’avoir mis les Ecossais au pas, fait une entrée triomphale dans York, il échappe de justesse à un attentat et immédiatement, il exige que son enquêteur privilégié, Hugh Corbett et ses assistants, se lancent sur la piste du ou des assassins. Corbett aura fort à faire, car il s’agira d’investir le domaine des Templiers qui n’aiment guère que l’on se mêle de leurs affaires.

Pourtant, lorsqu’un malheureux cuisinier périra de la même mystérieuse façon que les autres, en se consumant littéralement sur place, tout le personnel de la forteresse fuit et de Molay devra accepter la présence de l’envoyé royal. D’autant plus que son ordre a bien besoin de l’aide et de la protection du roi d’Angleterre.

Comme à chaque aventure de l’émissaire Corbett, porteur du Sceau Royal, Paul Doherty choisit un fait historique réel et brode autour de cela une formidable aventure policière. Spécialiste de l’Angleterre médiévale d’Edward Ier et fils, il apporte une atmosphère totalement crédible à ses romans grâce aux détails qui les jalonnent, comme par exemple ce "Vieil Homme de la Montagne", maître de la forteresse d’Alamout et fondateur de la Secte des Assassins.

[Môa]

Je suis sûr que c'est à cause des hashishins que tu relis ce bouquin ...


Perso, j'entame une trilogie apocalyptique bien sympa, à base d'Inquisition et d'Empire stellaire fascisant.



La pensée engendre l’hérésie – l’hérésie appelle le châtiment


Extrait :

Un bruit effroyable faisait résonner le grand mausolée, un roulement de tonnerre grondant sous les voûtes ruisselantes de l'Hypogée Deux-Douze. Le bruit de poings et de paumes battant frénétiquement contre les couvercles des capsules d'hibernation. Les dormeurs s'éveillaient, pris au piège dans leurs sarcophages, leurs corps glacés endoloris par le mal de la dormance. J'entendis un bruit de course se superposer aux hurlements. Eyclone prenait la fuite. Je m'élançai à sa poursuite, traversant le mausolée, dépassant une succession de galeries emplies de silhouettes fantomatiques se débattant frénétiquement. Ces hurlements, ce martèlement… Empereur-dieu, prends-moi en pitié, je n'oublierai jamais cela. Ces milliers d'âmes désespérées s'éveillant pour affronter une mort atroce. Qu'Eyclone soit damné. Qu'il rôtisse en enfer pour l'éternité et un jour.


Ambiance :

Infiltrée au cœur de l'humanité, l'Inquisition la sillonne comme une ombre vengeresse, poursuivant et abattant impitoyablement ses ennemis avec une intransigeance absolue. L'inquisiteur Eisenhorn se trouve confronté à une conjuration interstellaire de grande envergure ainsi qu'à de sombres puissances démoniaques qui toutes rivalisent pour la possession d'un texte ésotérique d'une abominable puissance – un antique grimoire connu sous le nom de Nécroteuque.

[sylvain medecine]

Je suis sûr que c'est à cause des hashishins que tu relis ce bouquin ...

je le lis pour la 1ere fois !

[Môa]

Ah ! Comme tu reprenais les aventures d'Hugh Corbett, je pensais que tu les avais déjà lues, pas que tu les continuais !

[sylvain medecine]

point grave Môa .

[sylvain medecine]

Voilà maintenant presque 38 ans que Eugene Vincent Craddock a laissé ses chansons orphelines. Décédé en octobre 1971 d’un ulcère avec hémorragie, l’auteur de Be-bop-a-lula, Blue Jean bop, Race with the devil et de nombreux autres tubes possède une biographie digne d’une légende… Grandeur et décadence ont façonné sa courte vie, lui qui rêvait de devenir le nouvel Elvis.


Rodolphe et Georges Van Linthout sont assurément des fans de Gene Vincent et des Blue Caps . Ils retracent la fulgurante ascension du jeune gars de Norfolk (Virginie) puis de sa lente et pathétique descente aux enfers. En effet, le décès de son meilleur ami Eddie Cochrane et l’essoufflement du rock au début des années 60 reléguèrent l’artiste aux oubliettes. Le rocker embarqua alors pour l’Europe et trouva en France notamment, les nombreux admirateurs qu’il n’avait plus outre-Atlantique. En 10 ans, Gene Vincent se retrouva criblé de dettes et miné par l’alcool et le désespoir. L’issue ne pouvait que devenir fatale… Le chanteur laisse derrière lui un héritage musical qui influence la branche la plus puriste du rock’n’roll et du rockabilly revival de la fin des années 60.


Les crayonnés colorisés à l’aquarelle de Van Linthout donnent beaucoup d’émotions à ce bel hommage que constitue cet album. Quelques paroles de chansons sont reproduites avec un lettrage informatique, enlevant ainsi toute ivresse musicale. C’est dommage, même s’il s’agissait de titres de Bill Haley et du "King". Mais c’est un détail au regard du reste, simple bonheur pour qui aime le rock’n’roll et les années 50.


Avec humour, les auteurs nous livrent en postface les cent et une raisons de ne pas aimer ce livre. 62 pages pour traduire la vie d’une l’une des légendes du rock, c’est forcément trop court. Même pour une star disparue à l’âge de 36 ans…


trouvé dans une boutique de BD à Bourges pour 9 euros ! le bouquin est trés bien fait . j'adore !

[kikoulol]

Je suis re plongée dans l'Ultime secret de Werber



Deux histoires parallèles. D'un côté, le meurtre du neuropsychiatre français de renommée, Samuel Fincher (par ailleurs très récent champion du monde des échecs contre l'ordinateur Deep Blue IV) ; de l'autre, la vie brisée d'un modeste employé de banque à Nice, Jean-Louis Martin, victime suite à un accident d'un Locked-In Syndrome ("Emmuré vivant", le cerveau de celui qui en est atteint continue seul de fonctionner, le reste du système nerveux étant paralysé).
Reliant les deux récits, le couple d'enquêteurs déjà rencontré dans Le Père de nos pères : l'anti-violent "Sherlock Holmes de la science", Isidore Katzberg, et Lucrèce Nemrod, belle journaliste scientifique du journal Le Guetteur moderne. Clef de voûte de leurs investigations : la recherche de "l'ultime secret" au nom duquel Fincher, apparemment mort de plaisir orgasmique dans les bras de sa mie, a été assassiné. Ce que confirme bientôt le meurtre du médecin-légiste ayant prélevé le cerveau de Fincher pendant son autopsie…

[captain.bobo]

Je viens de finir ça :



Nietzsche en disait "Dostoïevski est la seule personne qui m'ait appris quelque chose en psychologie"

Je pense qu'il est tout simplement l'un des meilleurs auteurs que l'humanité ait engendrés...

[gilda]

J'ai un peu honte mais tant pis, j'avoue, j'ai craqué, j'avais besoin de me laver le cerveau alors je lis ça, un Harlan Coben sorti il y a peu de temps en poche...

Paul, jeune procureur, a connu bien des drames dans sa vie, mais sa douleur la plus vive reste la disparition de sa soeur adolescente, 20 ans plus tôt, dans les bois où a sévi un tueur en série. Lorsqu'il est appelé pour l'identification d'un corps, le passé - ses questions, ses secrets, ses menaces - ressurgit. La victime n'est autre qu'un des garçons qui avaient disparu à l'époque. S'il était en vie tout ce temps, sa soeur l'est-elle aussi ?

Pas de style mais une efficacité indéniable ! C'est du consumérisme pur ! (et ça lave la tête !)

[captain.bobo]

Super bien foutu, mignon tout plein et extrêmement rafraichissant... Dans l'optique du roman traitant de l'amour et de ses petites contrariétés, et surtout comparé à (ça me)Gavalda, génial !!

[Hayyah]

Aaaaaaaaah !! damned ! Alexandre Jardin !!!

tout ça parce qu'il parle des gauchers

[sylvain medecine]

ça doit etre un gars bien ce monsieur Jardin !!!!! tiens, ce smiley est un gaucher !!!

[captain.bobo]

Aaaaaaaaah !! damned ! Alexandre Jardin !!!

Bon, le style ampoulé peu donner la gerbe, et puis c'est un roman à lire sur la plage...

Comme je sortais de Barjavel et Zweig, j'avais besoin d'un truc plus léger... et ça convient à merveille, on se fait avoir plus subtilement que Gavalda et consorts... Et dans le tas de bouquin où je l'ai chipé, les autres que je n'avais pas lu c'était du coehlo...

[Hayyah]

A part mon fidèle Harry Potter (en anglais of course, snobimsme oblige), je suis en plein rivaïveul des classiques. Je n'arrive pas à découvrir. Je préfère relire ou m'attaquer à des valeurs sûres. En réfléchissant bien, j'ai 4 bouquins près de mon lit et 3 ont des dates de publications antérieures à 1850 ... tssss .... la modernité et moi ...

J'aime pas la façon d'écrire aujourd'hui. Récitatif. Pédago-chiant ou érotico-biographique.* Pas de style. Ou je ne suis pas de mon époque. Ce qui ne doit pas être faux.





*c'est ce que j'avais dit en entretien d'embauche en librairie. Bien joué ! la directrice venait de sortir un premier roman. Erotico-biographique à narration plate et factuelle. Tout à fait mon trip, donc.

[captain.bobo]

*c'est ce que j'avais dit en entretien d'embauche en librairie. Bien joué ! la directrice venait de sortir un premier roman. Erotico-biographique à narration plate et factuelle. Tout à fait mon trip, donc.

Un peu ta faute aussi. Pour un type qui bosse en industrie, se pointer à un entretien et ne pas s'être renseigné pour connaître un minimum l'entreprise d'accueil, c'est dehors direct...

Vous y allez vraiment freestyle, les libraires, genre intello-j'ai-tout-lu-détendu-pas-besoin-je-sais-tout-qui-me-pââârle...

Fini. Bon ça se lit en 4 jours, c'est un signe. Et puis, les tics narratifs à la longue énervent, et ça finit 'achement moins bien, un peu refroidi. Bien, mais pas top.

[Hayyah]

Vous y allez vraiment freestyle, les libraires, genre intello-j'ai-tout-lu-détendu-pas-besoin-je-sais-tout-qui-me-pââârle...

*bruit du chat qui feule*
je-ne-suis-pas-libraire !!

Ce taff j'avais une chance sur 20 de le choper, et c'était pour manger, car les livres et l'argent, c'est sale. Cela dit c'est parce que j'y suis allée en freestyle que je l'ai eu. Et parce qu'elle a aimé mon tempérament par rapport au taff. Kipizé je suis loin d'une intello trèèèèès loin. Et quand t'es libraire ... ben tu gères tes bouquins comme des caisses de petits pois. Et c'est la marque qui t'explique le goût que ça a.

Tu piques où ça fait mouche, toi !

[captain.bobo]

Kipizé je suis loin d'une intello trèèèèès loin.

Mais si, mais si... ...Et c'est ceux qui se l'avouent le moins qui le sont le plus. (bouh, qu'il est crétin, mon argument)

Regarde, moi, je suis persuadé d'être un intello, en quelque sorte. Et bien je suis juste un crétin pédant affublé d'un complexe de supériorité. Mais, certes, c'est plus facile à vivre. (un petit sophisme pour faire passer la pilule...)

Tu piques où ça fait mouche, toi !

Non, je compatis. Mon frère a été libraire dans une grande fédération d'achat pour les cadres dont, par décence et pudeur, je tairais le nom...

[Hayyah]

Kipizé je suis loin d'une intello trèèèèès loin.

Mais si, mais si... ...Et c'est ceux qui se l'avouent le moins qui le sont le plus.

nan, vraiment ... j'ai une assez bonne culture générale, mais ça s'arrête là

[Môa]

Définissez déjà ce que vous entendez par intello, vous aurez peut-être plus de facilité à trouver un compromis !
Mais bon, je ne savais pas que c'était une insulte, au demeurant ...

Donc pour les filles : pas parler de poids ni d'intelligence ... Ca fonctionne aussi avec celles qui ne sont pas blondes ?...

[Hayyah]

nan, c'est pas une insulte, mais je reste très réaliste quand je vois 1- les chercheurs de notre salle* et 2- la masse de savoir passé et actuel tout autour de moi


mais le poids, ça non jamais même si nous on en parle trop



*même si certains pensent que leur bagage équivaut à leur valeur en tant qu'être humain.

[gilda]

Je recadre un peu le topic...


Bon après avoir lu mon Harlan Coben afin de me laver le cerveau (mais Alexandre Jardin, ça marche aussi !), je suis revenue à ma bonne littérature indienne comme d'hab !

Je lis donc ça :





Rakhi est une jeune femme d'origine indienne née en Californie vivant à San Francisco ; très attachée à sa mère indienne qui fait partie de la première génération d'immigrants, elle cherche à s'en rapprocher et à la comprendre, mais elle se heurte à des secrets intimes qu'elle mettra à jour en prenant connaissance du journal intime rédigé par la mère à l'intention de sa fille.

Les personnages sont assez remarquables et plus spécialement celui de la mère qui a pour métier traditionnel celui "d'interprète des rêves"...Mais cette activité a rendu celle-ci inaccessible et mystérieuse, auréolée de silences et de non-dits qui remontent jusqu'à son temps vécu en Inde, dans sa jeunesse. De son passé, elle n'en dit rien à sa fille qui, elle, meurt d'envie d'en savoir plus. Sa mère la fascine. Aujourd'hui installée en Californie, la famille de Rakhi fait figure d'étrangère au sein d'elle-même : chaque membre enfermé dans sa bulle, chacun taisant ses envies et ses secrets. Désormais, Rakhi est peintre, maman d'une petite Jona, divorcée du père, Sonny et s'occupe aussi de son salon de thé. Son équilibre est précaire, le soutien de sa mère toujours désespéré, et rendu encore plus fragile avec la disparition de celle-ci.

Que reste-t-il des réalités de l'Inde dans la communauté implantée aux Etats-Unis ? C'est une des questions intéressantes de ce roman qui ne manque pas d'originalité et se laisse lire avec facilité.

[Môa]

nan, c'est pas une insulte, mais je reste très réaliste quand je vois 1- les chercheurs de notre salle* et 2- la masse de savoir passé et actuel tout autour de moi

[...]

*même si certains pensent que leur bagage équivaut à leur valeur en tant qu'être humain.

Pour moi, un intello, c'est plus une définition d'activité que de personne : un manuel peut être un excellent artisan ou un gars bien naze dans son boulot. Ce qui le définit est qu'il travaille avec ses mains.
Un intello travaille avec sa tête, ça n'en empêche pas certains d'être cons comme des valises !
Bien que je ne sache toujours pas pourquoi une valise est censée être conne ...

mais le poids, ça non jamais

Pourquoi, t'as grossi récemment ?...

[maitre folace]

C'est parce qu'au fil du temps la vraie expression à été raccourcie : Con comme une valise sans poignée .

[serialdrinker]

[img][/img].
livre tres interessant et tres bien ecrit,apres faut aimer lire ce genre de livre

[calvinball]

Avec mon bouquin et celui de serialdrinker vous allez pouvoir choisir entre le coté clair ou obscur de la force.

Je viens d'acheter ça:


Par Bouzard, grand nom de la connerie. Une belle bédé qui ferai hurler de rire le plus triste des moines chartreux.

[tattooedgirl]

je viens de finir ca :



Présentation de l'éditeur
Futurs parents, sympathisants natalistes, obsédés de la tétine et du biberon, No Kid vise tout simplement à vous démoraliser, au sens de vous faire perdre la morale. Dans cet ouvrage jubilatoire et politiquement incorrect, Corinne Maier s'attaque à l'un des tabous les plus intouchables de notre société : l'enfant. Lassée par les discours conformistes et la littérature abondante louant les joies de la maternité ou la parentalité rayonnante, l'essayiste rebelle dégaine quarante bonnes raisons de ne pas succomber à la tentation de l'enfantement. Livre caustique et de salubrité publique, No Kid réjouira également ces millions de pères et mères qui craignent de reconnaître publiquement que " l'enfer, c'est les enfants ! ". Pour la première fois quelqu'un ose écrire ce que la plupart des parents pensent tout bas... quand leur progéniture est enfin couchée.

L'Auteur :
Auteur d'une dizaine d'essais dont le best-seller Bonjour Paresse aux éditions Michalon, Corinne Maier est mère de deux charmants enfants.

[serialdrinker]

tattooedgirl:ce n'est pas un livre pour moi
moi qui en veut absolument sinon ca va me demoraliser,apres ca peut etre marrant a lire.

[sylvain medecine]

ouais , ba si c'est pour les découper en morceaux au fond d'une cave en buvant de la leffe au jack en fumant des marlboros ba c'est pas la peine d'en faire !

adoptes en , ça fera des malheureux en moins !

[Hayyah]

[serialdrinker]

merci sylvainmed,t'as de bonnes idees.
je pensais plus a les faire bosser de bonne heure apres oui,je peux les couper en morceaux,histoire de ne pas gacher

[tattooedgirl]

tattooedgirl:ce n'est pas un livre pour moi
moi qui en veut absolument sinon ca va me demoraliser,apres ca peut etre marrant a lire.

ouais c'est plutot fun à lire qu'on en veuille ou pas !

[Hayyah]

[captain.bobo]

Tapé chez une copine. C'est en train de me tomber des mains... Pas bien...

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